Fiona, lettre à PAPYRUS, décembre 2001
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Fiona, lettre à PAPYRUS, décembre 2001
Hello, Papyrus !
Après la prise de contact avec Nathalie (qui remonte… au stage de Beata et Horacio à Paris !), je vous envoie ces petits textes. Ils sont inspirés de ce que j’ai lu dans Papyrus. La pratique et la vie de la Danse Orientale m’apparaissent très différents au Canada et je pense que nos expériences partagées sont utiles à tous les passionné/es de cet art.
Si j’ai mis tant de temps à faire ces articles, c’est essentiellement dû à la mise en place de mes cours dans le cadre de l’association Flash à la Danse.
Je suis un peu étonnée que la liste des professeurs de Danse Orientale soit si courte pour la France. Il y en a tant ! La Danse Orientale est en plein boum : est-ce seulement un effet de mode accentué par les médias ? C’est très possible, d’autant plus que les danseuses-animatrices sont légion à Paris, de plus en plus danseuses et moins animatrices ; elles contribuent à propager l’envie d’essayer la Danse Orientale. Le revers de la médaille, c’est que beaucoup de personnes utilisent la Danse Orientale, s’improvisant danseur/se ou professeur/e sans vergogne sans en avoir forcément les capacités.
Je vous souhaite à tous de bonnes fêtes de fin d’année.
Après la prise de contact avec Nathalie (qui remonte… au stage de Beata et Horacio à Paris !), je vous envoie ces petits textes. Ils sont inspirés de ce que j’ai lu dans Papyrus. La pratique et la vie de la Danse Orientale m’apparaissent très différents au Canada et je pense que nos expériences partagées sont utiles à tous les passionné/es de cet art.
Si j’ai mis tant de temps à faire ces articles, c’est essentiellement dû à la mise en place de mes cours dans le cadre de l’association Flash à la Danse.
Je suis un peu étonnée que la liste des professeurs de Danse Orientale soit si courte pour la France. Il y en a tant ! La Danse Orientale est en plein boum : est-ce seulement un effet de mode accentué par les médias ? C’est très possible, d’autant plus que les danseuses-animatrices sont légion à Paris, de plus en plus danseuses et moins animatrices ; elles contribuent à propager l’envie d’essayer la Danse Orientale. Le revers de la médaille, c’est que beaucoup de personnes utilisent la Danse Orientale, s’improvisant danseur/se ou professeur/e sans vergogne sans en avoir forcément les capacités.
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